Hier je me suis offert un temps pour regarder un documentaire de Tistrya qui s’appelle “En Conscience” . Et vous savez quoi? J’ai bien fait! C’était un super cadeau!

Ce documentaire regroupe différentes interviews de personnes qui ont vécu des expériences de mort imminente (ou de mort provisoire comme le dit un des intervenants).

Une des personnes interviewées explique que lors de cet épisode de sa vie, la seule question qui lui a “été posée” alors qu’elle était en mort clinique pendant 45 secondes c’est:

“Comment as-tu aimé?
Qu’as-tu fait pour aimer?”

Je croyais que je savais déjà qu’aimer, c’est ce qui compte le plus…

Je croyais que j’aimais déjà beaucoup.

Pourtant à cet instant, ces mots m’ont fait l’effet d’une bombe de lumière, une révélation.
En une fraction de seconde, j’ai ressenti comme une prise de recul sur ma vie d’aujourd’hui. En une fraction de seconde, mes pendules ont été remises à l’heure. En une fraction de seconde beaucoup de choses (des croyances, des habitudes, des réflexes, …) ont changé de place dans mon échelle de valeurs, tout s’est réaligné de manière plus juste.

Comment est-ce que j’aime aujourd’hui?
Qu’est-ce que je fais pour aimer?

Je me rends compte que je peux beaucoup plus. Je me rends compte que je me contente de situations qui ne me conviennent pas. Je me rends compte que j’ai envie que chaque jour de ma vie rayonne d’Amour et que beaucoup de peurs, de routines, de fausses croyances étouffent cet Amour, cette flamme.

Concrètement, je m’engage à me coucher chaque soir en me posant cette question, afin de relever chaque matin le défi de vivre ma vie sur un chemin d’Amour vrai.
“Ce n’est pas le but du chemin qui est important, c’est le chemin lui-même”, alors chaque pas, chaque geste, chaque parole compte.

Toi qui lis ces lignes, tu es aimé(e) et tu es invité(e) à aimer à ta manière, unique, qui te ressemble.

Crédit Photo Douceur en mère